Pratiques de protection des cultures en agroécosystèmes tropicaux et risques de maladies humaines et animales d’origine bactérienne

Une revue bibliographique récente montre que les pratiques de protection agroécologique des cultures (PAEC) contre ravageurs, pathogènes et adventices, réduisent généralement risques zoonotiques viraux en santé publique vétérinaire, alors conventionnelles (à base agrochimique) tendent à augmenter. Nous avons analysé la littérature scientifique pour déterminer si ces conclusions pouvaient être élargies aux infections bactériennes, avec focus sur agroécosystèmes tropicaux. En principales bactériennes impactées par sont celles ayant réservoirs rongeurs (avec arthropodes vecteurs, comme peste, ou pas, leptospirose), maladies entérobactéries ( e.g. , Salmonella ) autres bactéries opportunistes Pseudomonas ). La problématique d’antibiorésistance est peu affectée conventionnelles. Des relevant substitution intrants synthèse (variétés résistantes attaques colonisation ; pesticides minéraux; solarisation) peuvent se traduire une réduction plus importante du risque sanitaire certaines reconception (push-pull intégration agriculture-élevage). Toutefois, vu ses effets vertueux termes pollutions, conservation biodiversité résilience climatique, PAEC, basée reconception, contribue, échelles spatiotemporelles supérieures, lié bactériennes. Les impacts cultures, basées l’amélioration l’efficience conventionnelles, d’infection bactérienne sensiblement différents ceux observés viraux. recherches encore nécessaires concilier, dans perspective « seule », trois types pratiques, afin réduire sanitaires liés infectieuses autant qu’à virus, parasites (protozoaires vers) champignons.